Après l’audience au Tribunal de commerce de Rouen d’aujourd’hui, deux urgences s’imposent. La première est que l’État intervienne dès à présent auprès de Shell pour que le contrat de processing qui permet à la raffinerie de Petit-Couronne de fonctionner soit prolongé. Les contrats d’exploitation en Guyane représentent un moyen de pression en ce sens. La seconde est que la puissance publique reprenne la main. Le volontarisme affiché doit se traduire en actes politiques forts pour préserver cette activité (...)