Pour la deuxième fois en six mois, un leader du Front populaire tunisien est assassiné à Tunis, faisant ainsi régner la terreur et fragilisant la démocratie. Mohamed Brahmi était un laïque, engagé sans concession pour la lutte des droits sociaux et démocratiques des Tunisiens. Le crime fait suite aux nombreuses répressions dont sont victimes les militantes et militants des forces démocratiques et de progrès, les syndicalistes. République et socialisme adresse ses plus sincères condoléances à la (...)