Le rapport souligne enfin la place essentielle de l’industrie pour l’avenir de l’Union, confirme la nécessité d’une politique industrielle européenne. Il reconnaît implicitement le fiasco de la stratégie de Lisbonne, en demandant avec raison de consacrer 3% du PIB de l’Union à la R&D et en proposant que le privé soit fortement mis à contribution Malheureusement, il reste enfermer dans une vision de la compétitivité accès sur la mortifère baisse du « coût » du travail alors qu’il faudrait développer (...)